André Caéli, inventeur fou !



 
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André Caéli, inventeur fou !

André Caéli
André Caéli
Messages : 347
Age : 0
Métier : Ingénu
Humeur : Atrabilaire
Points Histoire : 70
Jeu 8 Sep - 4:53




André Caéli




Identité


Surnom(s): L’inventeur fou
Naissance: Omnia, Annus 742 (20 ans)
Genre: Homme
Affinité: Feu
Nation: Ventus
Métier: Maitre de conférence à Mihailov, chercheur en technomagie, écrivain
Langue(s): Langue courante (parlée et écrite),  Lange Ancienne (écrite uniquement)


Physique



« Mon frère » Par Anna, 7 ans.

Pour décrire mon frère, il faut commencer par ses cheveux. Il sont longs et noires, comme une crinère d’onix, et lui donne un aspect doux et féminin qui correspond bien à son charactère. Ses cheveux tombent en bataille sur ses épaules relativement peu large et semble épouser dans le dos les formes d’un homme svelte plus bati pour la vitesse que pour la force pure. Maintenant il  ressemble à son épée d’escrime. Il semble pouvoir plier sous le moindre choc comme elle mais jamais rompre et tout pouvoir se redresser fier et droit.
Ensuite il faut vous parler de ses yeux. Ils sont verts. Pas d’un vert d’émeraude mais d’un vert d’océan couvert d’un ciel gris sous lequel danse de longues voiles blanches dans les tableaux des peintres surréalistes. Eux-aussi sont très doux, mais il y brille toujours une lueur flamboyante, comme si son esprit ne s’arrêtait jamais. Ses yeux accompagnent toujours ses paroles, sa voix sure et posée, d’une lumière de certitude et d’honnêteté qui font que les gens croient en lui et lui font confiance. Mon frère a peu d’intérêt à devenir un grand orateur, et ne cherche pas particulièrement à être entendu, mais quand il parle de choses qui lui tiennent à cœur, il est animé d’un feu tout particulier, et rien ne saurait le faire taire alors, car c’est sa vérité qu’il parle, et pour lui, rien n’est plus important.
Enfin je dois vous parler de ses vêtements. Quand il n’est pas en cours, il porte volontairement des vêtements négligés. Papa et maman souvent le réprimande, mais il n’y porte pas attention. Je crois que la sensation d’avoir des vêtements le gêne et qu’il essaie de porter des vêtements aussi large que possible afin de diminuer son gêne et ne pas se sentir à l’étroit. Mon frère est maladroit et tout ce qu’il touche se casse sauf les livres. Je crois que c’est pour ça qu’il ne veut pas de vêtements élaborés et se contente d’un style négligée et ample.
Je pense que mon frère devrait faire plus attention à ce qu’il porte car maintenant il est quelqu’un de très connu. Mais je sais qu’il ne porte pas attention aux publiques et que cette aspect de sa personnalité est une des raisons de son succès. Mais quand même parfois j’aimerai qu’il m’écoute quand je lui demande de mieu attacher ses cheveux ou de bien s’habiller.
Elisa Caéli, Le loup et la petite fille, Description du personnage de Wolfgang, inspiré par André.

Psychologie


Le soir tombait doucement sur les quartiers pauvres d’Omnia… Les lumières apparaissaient doucement aux fenêtres et la rue pourtant si calme et déserte durant le jour s’agitait progressivement. De la petite cuisine familiale, André écoutait les voisis du dessus se disputer pour la énième fois, et chaques mots prononcés se gravaient irrémédiablement dans son esprit. Sa malédiction. Sa sœur Elisa le dévisageait l’air inquiète. Il se tourna vers elle et se forca à sourire, puis jeta un regard blasé au vieux grimmoire devant lui…
« Calmes toi, je suis sur que ca va bien se passer » La fillette de 10 ans parlait d’une voix bien trop sérieuse pour son âge. Défaut de famille, pensa André.
« Vraiment ? » Il ferma les yeux quelques secondes pour se rendre hermétique à tout ses bruits qui l’assayaient et qui contre sa volonté se transformer en mots dans sa tête, mots qui ne lui étaient pas addressés et qu’il ne voulait pas entendre. « J’ai essayé de me procurer tout le matériel que j’ai pu sur la langue ancienne, mais rien ne se rapproche même juste un peu du niveau de complexité du grimmoire… Mais… Si je n’ai pas eu accès à des éléments importants… Ce n’est qu’un livre, il ne peut pas tout contenir… La langue ancienne est complexe… Et je n’ai jamais eu accès à un vrai enseignement… Peut être quelque chose m’échappe depuis le début ? Peut être n’ai-je jamais su lire ni écrire cette langue ? Peut être… »
« Ou peut être pas ». La lueur d’inquiétude dans les yeux de la filette s’était accentuée. Elle connaissait son frère, et savait que dans son for intérieur, le jeune homme était probablement assailli d’un grand nombre de questions qu’il ne partageait pas avec elle. Mais d’habitude, ces doutes intérieures n’ébranlaient pas sa confiance en lui-même.
«  André, personne n’a jamais fait ce que tu es en train de faire. Il est trop tard pour avoir peur, trpo tard pour reculer. Vas-y, et montre leur qui tu es ».
D’une certaine manière, se discours était tout ce qu’il avait besoin, pensa t’il. Le doute n’est jamais qu’une manifestation personelle de la peur, il n’est pas rationnelle et c’est pourquoi il n’est pas besoin d’argument pour le contrer. Simplement de convictions et de courages. Mais quels sont mes convictions ? D’où me vient mon courage ? Pourquoi fais je cela ?
André essaya de réfléchir mais aucune réponse ne lui venait. Demain il passerait l’examen de fin de première année en langue ancienne, bien qu’il soit étudiant en litérature et n’ai jamais étudié la langue ancienne avant. Demain serait le jour où son avenir serait décidé. Sera-t-il un magicien, ou non. Un spasme le pris et il sentit le regard de sa sœur s’accentuer. Pourquoi essayer ? L’honneur de ses ancêtres et de sa famille ne l’intéressaient pas, la popularité, le pouvoir que lui donnerait la magie ne l’intéressait pas. Alors pourquoi ?
Des images de son enfance lui revinrent alors en mémoire. La surface limpide de son souvenir s’était gondolé pour laisser apparaitre un petit enfant lisant un vieu grimmoire sur le siège inconfortable d’un café. De l’autre coté de la vitre, d’autres enfants lui font des grimaces pour essayer de le déconcentrer. Il neige dehors. Il fait froid. Leur dents sont longues comme des couteaux, leurs sourires sont des poignards. Il sent encore sur sa peau les coups qu’ils lui ont infligés. Mais la, dans ce café, il se sent en sécurité, il a chaud. Et tant qu’il lit le vieux grimmoire en langue ancienne, il sait que rien ne peut lui arriver.
« Parce que la langue ancienne est ce qui t’as permi de devenir qui tu es. Parce que c’est ce que tu veux faire, et parce qu’il t’es moralement inconcevable de ne pas tout faire pour réussir un examem » pensa t’il. « Parce que je suis faible et que je m’y réfugie au lieu d’affronter la réalité ? » et puis « et si je ne réussis pas » pensa t’il aussi. Puis un petit sourire se forma sur ses lèvres et il rigola. Lui, ne pas réussir un examen ? Mais bien sur…
« Depuis combien de temps tu n’as pas dormi ? » demanda sa sœur ?
« Trois jours ». Il lui sourit puis ferma l’épais grimmoire de sur la table. « Trois jours de café et de junk food. J’aurai bien besoin d’une salade de fruit quand tout sera fini ».
« Les fruits sont chères ». répondit-elle. Plus pour longtemps. Une fois que j’en aurai fini avec ses examens, je trouverai un moyen de tous vous sortir de la misère. Jamais je ne laisserai ma famille à nouveau dans la pauvreté. Que l’honneur des Caéli aille au diable, sa sœur mangerait des fruits quand elle voudra une fois que son livre aura été publié.
« Dis à maman de me garder un truc à manger pour demain matin. On ne va pas à la guerre sans une bonne nuit de sommeil avant. »
Et puis il se leva et se dirigea dans l’unique autre pièce de l’appartement pour s’allonger dans un vieu lit superposé. « Demain, je deviendrai un étudiant en langue ancienne. Et le reste de ma vie sera son étude et son utilisation. Demain, je deviendrai moi-même ».
Et il s’endormit en pensant non pas à son examen de demain mais au futur. A celui qu’il offrirait à sa famille grâce à ses livres. A celui qu’il offrirait à son pays grâce à sa compréhension des runnes. A tout ce que le cursus de langue ancienne de Mihailov lui permettrait d’appréhender et d’accomplir. Aux inventions que sa tête avait déjà conçu et qu’il allait bientôt pouravoir réaliser. Et aux commandes d’un étrange objet volant à travers les nuages, il bascula dans le monde des rêves.

Influence



Introduction : L’âge de la technomagie.

Depuis la première utilisation de la technomagie par professeur O., notre science progresse à grand pas. Apporter ma pierre à cette édifice à travers cette thèse est pour moi un grand honneur et je tiens à remercier l’université de Mihailov pour son soutien à mes recherches et à notre science.
Avant de rentrer dans le vif du sujet néanmoins, je pense qu’il est nécessaire de parler de la technomagie comme moteur de la société moderne. L’âge de l’empire était le temps de l’oppression, ou la naissance et le fanatisme déterminait le pouvoir d’un individu dans la société. L’homme Eholien pronnait par la rhétorique d’alors comme un homme accompli une illusion de la tyrannie qui nous a oppressé. En rejetant ce model et en s’émancipant, nos pères fondateurs ont créer un pays où l’homme est au centre, et avec lui les deux vertus de l’humanité, l’art et la science. Et c’est pourquoi notre âge est celui de la technomagie, notre temps celui du progrès, et notre fois celle en l’homme.
La technomagie, je pense, est le moteur qui nous permettra de progresser en tant que société afin de devenir meilleur. Elle est la pierre angulaire sur laquelle l’âge de la prospérité sera bati et c’est pourquoi j’ai décidé de dédié mon temps à son étude. Pour ceux qui connaissent mes activités littéraires, vous savez à quel point l’homme et l’art son déjà aux centre de mon œuvre, et je veux inscrire cette thèse scientifique non pas comme un chemin différent mais dans la continuité de mon œuvre littéraire. La où l’art permet à l’homme de prendre conscience de sa sublimité, et de l’importance d’une existence qui sans art ne serait qu’animal, en d’autres termes, permet à l’homme de s’élever en tant qu’individu, la science permet à la société de suivre le même chemin. La nourriture de l’esprit et la nourriture du corps sont deux aspects d’une même pièce que nous tenons dans notre main. Par ma dévotion à la technomagie, je souhaite permettre à notre société de libérer l’humain le plus possible de la servitude des âges passées et aider à créer un âge de prospérité et d’art.
En utilisant la technomagie, nous nous proposons ici à Mihailov de développer une utilisation dans l’intérêt du peuple et de sa liberté. Nous refusons toute utilisation qui servira à l’asservissement d’un peuple à un tyran ou une religion, car nous pensons que la science n’a pour but que de servir l’homme et non pas l’asservir. Nous rejetons aussi tout aspect mystique qui pourrait être attaché aux recherches suivantes. La magie, et tout ce qui va suivre ne doit être considéré que sur de façon rationnelle et n’est pas le fruit du divin mais bien de règle pré établi de la nature que nous essayons de comprendre et d’utiliser à force d’observation et d’expérience.
Enfin pour parler de cette thèse elle-même, je crois qu’il est important d’établir son but premier. Il ne s’agit pas d’un mémoire concret mais bien d’un écrit très théorique et abstrait, donc le but n’est pas la réalisation d’une avancée scientifique direct mais bien l’établissement d’un nouveau champ d’étude dans le domaine de la technomagie : la technomagie de pacte et d’animation. L’auteur se propose d’établir les règles sous-jacente permettant de créer des sceaux nécessaires à l’animation d’object mécanique via un système technomagie. Le traité tente d’établir comment combiné sur un même objet un sceau de technomagie transformant la magie en énergie afin de permettre une capacité motrice, et par le biais du même sceau ou d’un sceau différent, selon le degrès d’apposition de l’ojbet, d’utiliser un système de runes afin de permettre une capacité de contrôle et d’accroire la capacité motrice. Enfin et ceux malgré des expériences pratiques réussies, toutes les théories explosées doivent encore être considérées comme étant hypothétique, et ceux car la réussite des experiences pratiques en aucun cas ne permet d’affirmer une compréhension de tout les facteurs intervenants.
Technomagie et Pacte d’Animation, André Caéli, 759

Histoire



Partie 1 : Le livre (6 ans)

« Elisa, où es tu ? » Dans le petit appartement, les cachettes étaient rares, et André, s’émervaillait toujours de comment sa sœur trouvait toujours de nouveaux endroits où disparaître. Il s’approcha de la seule armoire. Il n’avait pas entendu la porte s’ouvrir et pensa que s’était ridicule de chercher la dedans. Mais la fillette pouvait se montrer très silencieuse quand elle le voulait.
Il tourna la lourde clef de fer et ouvrir, un peu apeuré par le meuble géant. Tout était silencieux dans le petit appartement. L’armoire semblait appartenir à un autre monde, du temps ou ils vivaient dans la grande maison des Caélis. Elisa ne pouvait pas s’en souvenir, mais lui le pouvait. Elle était dans l’angle du bureau de son père. Vestige des premières générations des Caéli.
« Elisa ? » Il retint son souffle pour essayer de percevoir la respiration de sa sœur. Rien Il s’accouda sur une des étagères pour essayer de voir plus haut dans l’armoire, puis emporté par la curiosité, posa ses pieds sur le rebord de l’armoire pour s’élever. Pas de petite sœur dans les étages supérieurs, pensa t’il tristement. Puis il sentit le bois se dérober sous ses pieds et l’armoire bascula sur lui.
« André » cria sa petite sœur.
Il y eu un grand fracas et le meuble s’écrasa lourdement sur le sol en se disloquant. Elisa accourut et commença à soulever ce qu’elle pouvait du haut de ses 4 ans. Le garçon émergea sain et sauf entre deux planches. Sa petite sœur le serra dans ses bras, puis fit d’une voix maline « tu vas avoir des ennuis ».
André se tourna pour contempler le désastre. « Oui… Pas moyen de réparer ça avant que les parents rentrent ». Puis apercevant un vieu grimmoire « Qu’est ce que c’est ? »
Il se baissa et pris le livre, puis s’assayant par terre, l’ouvrit, ayant complètement oublié l’avoc de la commode détruite.
Le livre était structuré toujours de la même manière. Une page pleines d’inscriptions obscures, dans une écriture inconnue des deux enfants, et de l’autre coté une traduction en langue moderne, mais dont les mots mis bout à bout n’avaient aucun sens. Les deux aspects immédiatement fascinèrent André. D’un coté il sentait son regard être attiré par la mystérieuse écriture, et de l’autre, ce qui devrait être une traduction mais ressemblait plus à une étrange poésie surréaliste.
Que le feu du lac d’Ambre / Brule sur le crystal d’argent / Que la barrière de vents / Protèges les fils du nuage.
« Ca ne veut rien dire » fit Elisa.
« Non » Fit André. « Ca ressemble à une étrange poésie, ou une incantation ». Il marqua une pose « Tu crois que c’est de la magie ? »
« Non… Les magiciens ne lancent pas des incantations aussi stupides ».
Le jeune homme hésita. Pour lui ce livre était plus qu’un livre, c’était une opportunité. Un échappatoire. Car l’école ne suffisait pas à occuper son esprit, et le mystère de cette écriture étrange déjà l’obsédait.
« S’il te plait, ne dit rien aux parents pour le livre… J’aimerais le garder pour moi ».


Partie 2 : Le café (8 ans)

Le garçon s’écroula sur le sol boueux de la rue. Son ventre était douloureux la ou l’autre enfant l’avait frappé. Il sentit une main se refermer sur ses longs cheveux noirs afin de le redresser.
« Dis nous comment tu fais ? Où tu caches tes antisèches »
Ses yeux verts tournèrent dans leurs orbites apeurés, et il répondit d’une voix tremblante « Je ne triche pas, jamais »
Plusieurs mains alors s’emparèrent de son corps et se mirent à le fouiller, quite à déchirer ses vêtements. André voulait leur dire d’arrêter, qu’ils ne trouveraietn rien, mais il savait que c’était inutile. Quand ils eurent fini, le chef du groupe le regarda quelques instants et ricana.
« Pas d’antisèche Caéli hein… T’es vraiment une plaie » Il le frappa au ventre à nouveau « Dans ce cas là, sois sur d’oublier des trucs pour le prochain exam, d’accord ».
André baissa les yeux espérant ne pas avoir à répondre mais de toute évidence, son tortionnaire attendait. Il inspira et répondit.
« Non. Non désolé, je ne peux pas. Ni oublier, ni volontairement ne pas répondre correctement »
Il ferma les yeux sachant qu’un coup allait s’abbatre sur lui, mais au lieu de ça, il sentit les bras qui le tenaient se desserer et il tomba à nouveau sur le sol boueux. Des pas s’approchèrent.
« André, ca va ? » Une dame s’approcha de lui et souria. Elle était une amie de sa mère, se souvint il. Jeanne. Elle tenait un café à l’ange de la Rue d’Estaing.
« Merci Madame Jeanne » murmura t’il. Puis sur son invitation la suivit jusqu’à l’intérieur du café où elle le fit s’assoir. Son regard se posa tout autour de lui. S’était un pauvre établissement. Pas de ces cafés de centre ville pour gens importants, mais un petit café de quartier pauvres d’Omnia, ou les gens venaient chercher un peu de confort. Pas de chaises mais des tabourets, pas de tables en bois vernies mais des comptoires mal lissées et plein d’échardes.
« S’il vous plait, ne dites rien à mes parents, madame Jeanne ».
La femme hésita. Elle était jeune, pas encore la trentaine, et avait de grands yeux marrons. Puis elle prit sa décision et dit « D’accord, mais à condition que tu viennes ici à chaques fois que tu te sens en danger à cause des autres enfants d’accord ? »
André se repassa la question dans sa tête pour être sur d’avoir bien compris, comme un magnétophone. « Même si c’est tout les jours ? »
Elle rigola. « Tu deviendras mon plus fidel client. Tiens bois ça ». Elle lui tendit une tasse dans lequel se trouvait un liquide noiratre. Il en but un peu grimaçea.
« C’est fort »
« C’est pour ça que les gens le boivent ». Il regarda Jeanne et le café successivement, puis le bu d’un coup sec. La chaleur du liquide le réconforta tout de suite et il eut la sensasion d’être suspendu à un fil. Il aimait ça.
« Merci Madame Jeanne, je reviendrais demain ».


Partie 3 : La montre (12 ans)

C’était une vieille montre à gousset que son père lui avait offert quand il avait décidé de passer l’examen de Mihailov. « Pendant un examen, tu dois savoir gérer ton temps. Jusque là, ca ne t’était pas nécessaire, mais pour Mihailov, même toi, tu auras beosin de le faire ». Et c’est ainsi que il s’était retrouver en possession de la montre. En ce temps là donc, André avait arrêté l’école régulière qu’il avait finit avec six années d’avance afin de préparer l’examen de la plus prestigieuse université d’Albion. Même son étude du grimmoire, qu’il avait déjà entièrement déchiffré, et de la langue ancienne qu’il était capable d’écrire avait été mis de coté afin de préparer le concours de littérature. Des livres à perte de vu étaient étaler sur la table du café que Jeanne avait mis à sa disposition.
La jeune femme l’avait pris en affection et avait joué un rôle important dans son parcours académique. D’abord son café avait servi de véritables bureau pour André, autant pour apprendre à langue ancienne à l’aide du grimmoire que pour les études normales qu’il avait à faire. Ensuite elle avait décidé de le fournir gratuitement en café quand elle avait appris qu’il arrêtait l’école pour tenter le concours de Mihailov. Enfin elle avaint convaincu les habitants du quartiers de se cotiser pour offrir au garçon certain livres nécessaires. En échange de cela, André avait déclaré que chaques livres resteraient chez Jeanne et que toutes personnes désirant étudier aurait le droit d’y accéder. La solidarité des quartiers pauvres d’Omnia battait son plein.
Pourtant ce qui se passa de plus notable avec la montre arriva dans le petit appartement des Caélis, alors qu’André se trouvait seul. Il se leva avant les rayons du soleil se jour là, et s’appretait à se rendre chez Jeanne pour ses études quotidiennes. Ses parents et sa sœur était en vacance à la mer pour fêter le début de l’été. André n’avait jamais vu la mer, car c’était la première fois que la famille se payait un tel voyage, et avait du refuser pour se concentrer sur son concours. Il pris le temps de se faire un café dans la petite cuisine, luxe rare pour une famille aussi pauvre mais nécessaire dans cette famille. Mal réveillé, il fit tomber la montre qu’il avait gardé à la main et qui tomba sur le sol de pierre dans un bruit métallique. Puis une lueur étrange s’en dégagea.
« Qu’est ce que ? ». Des runes étranges se mirent à rougeoyer sur la surface de la montre et André se rendit compte que la montre était devenu chaude en la ramassant. André l’ouvrit et vit que les aiguilles s’étaient mis à tourner si rapidement qu’elle ressemblaient maintenant à des hélices. Les inscriptions sur le métal extérieur lisaient en langue ancienne, et il en prononca à haute voix la traduction en langue normal :
« La volonté du feu est dans le cœur du ciel »
Et sur le verso de la montre
« Le Dragon du feu, soutenu par le vent, ouvrit pa la porte »
Et enfin dans l’intérieur de la montre, faisant face aux aiguilles
« Le feu est volonté / Le ciel son esprit / Le vent est liberté / La porte les unit »
Dès qu’il eu finit de prononcer ces mots, la température de la montre s’éleva à nouveau et se mis à le bruler. Quand il voulut jeter la montre à nouveau, il s’aperçut avec horreur qu’elle était collée dans sa main. Il se débatit quelques secondes pour essayer de se débarasser de l’objet qui le blessait. Puis des images se mirent à apparaitre devant ses yeux alors qu’il tentant de résister à la douleur. D’abord il pensait que cette torture était en train de le rendre fou, puis il se rendit compte que ses images qui ressemblaient à d’étranges animaux étaient des runes qu’il pouvait lire. Il les prononc à haute voix, en essayant de garder son calme malgré l’intense sensation de brulure sur tout son corps :
« Moi, André, fils du ciel, je vous appelle, esprits incondecents. Au feu je jure union, au vent protection, car je suis l’es prit qui unit tout deux ». Une lumière intense rayonna de la montre et André perdit conscience.
Jeanne arriva vers midi, inquiète de ne pas l’avoir vu, et le trouva inconscient dans la cuisine. Elle le porta à l’hôpital, où il se réveilla quelques jours plus tard, un sceau de magicien en forme de phénix sur son cœur, et l’esprit trop embrumé pour continuer de réviser le concours.


Partie 4 : La plume (14 ans)


André attendait dans l’antichambre du bureau de la directrice de Mihailov pour la deuxième fois de sa vie. Elie Drennenda était une terrifiante vieille dame, pensa t’il, et son bureau rempli d’objets d’arts exotiques. La première fois était après son hospitalisation, pour la convaincre de le laisser se réinscrire au concours, ce qu’elle avait accepté sans la moindre amabilité. La secrétaire rentra dans la salle et lui fit signe de rentrer dans le bureau proprement dit.
« Caéli, encore vous… »
« Bonjour Madame la directrice »
« Vous réalisez que j’ai un emplois du temps très chargé, et que je ne peux pas me permettre de rencontrer tout mes étudiants… »
« Oui Madame la directrice. Peut être avez-vous lu l’objet de ma demande… ? Je souhaiterai rentrer en deuxième année de langue ancienne et de litérature à la prochaine rentrée et… »
« Et je crois que vous avez lu trop de fiction jeune homme. Ecoutez, André, vous êtes un jeune homme brillant, et je sais que vous êtes majors de votre promotion en litérature… Mais vous n’avez jamais reçu de cours de langue ancienne, et même si vous aviez… Enfin vous connaissez nos exigences, vous vous rendez bien compte que seul l’élite du pays peut rentrer à Mihailov… Encore plus en sautant une année… »
« Madame… Je lis la langue ancienne en runne depuis quej’ai six ans » Il s’arrêta pour regarder ses yeux circonspects. «  Je sais que c’est dur à croire, mais vous l’avez dit vous-même, je suis un jeune homme brillant. Mais comme vous l’avez dit, je n’ai jamais eu de cours de langue ancienne, je ne sais que la lire, pas la parler, et j’ai atteint les limites de ce que je peux faire avec les outils disponibles… Si je veux continuer de progresser sur ce chemin, il me faut plus de resources, il me faut Mihailov… » Son visage était toujours impassible, mais Caéli connaissait les règles de Ventus, et il savait comment jouer son atout. « Je ne vous demande pas de me croire, ni même d’accepter. Je vous demande de me laisser une chance, une chance « juste ». Je vous propose de me laisser passer l’examen d’entrée à Mihailov de la semaine prochaine, et le mois prochain l’examen de fin de première année en langue ancienne… »
Elle le coupa « Et vous pensez que cela vous rendra digne de notre enseignement en langue ancienne ? »
« Oui je pense que ca m’en rendra digne. Mais ca ne me satisferait pas, donc je vous demande de ne pas vous en satisfaire ». Il marqua une nouvelle petite pause. « Si j’arrive à majorer les deux examens, et ceux en la moitié du temps imparti pour les autres candidats, vous validez ma double inscriptions pour l’an prochain… Sinon je quitterai Mihailov »
Cette fois si une lueur d’intérêt s’alluma dans les yeux de la directrice. Pas tant qu’elle était d’accord pour accepter la requête de l’adolescent, mais plus parcequ’à Mihailov plus qu’ailleurs, on aime les défis intellectuels impossibles.
« Votre départ de l’université ne me profitera pas. Si vous échouez, vous ferez du tutorat gratuit pour les premières années jusqu’à la fin de votre cursus universitaire, et vous aiderez les biblothécaires. Beaucoup de jobs étudiants vous guérira de votre insolence, Caéli »
Le jeune homme lui sourit. Il avait obtenu gain de cause d’une certaine manière « Même si je réussi, je veux bien devenir l’aide bibliothèque » fit il de son sourir le plus insolent afin de ne pas trahir la peur qui l’envahissait déjà.
« C’est ça, sortez, nous avons tous deux du travail, je crois… »
« Merci ... »


Partie 5 : Caéli, bibliographie et distinctions :


Distinctions :

Lycée d’Estaing, 1er de Promotion 753.
Concours de Mihailov en litérature, 1er Admis, 755
Licence de Litérature, 1er de promotion 757
Licence de Langue Ancienne, 1er de Promotio 757
Master en Langue Ancienne, 1er de Promotion 758
Master en Litérature, 1er de Promotion, 759,
Thèse de Langue Ancienne : 759
Thèse de Litérature 761.


Bibliographie :

Le conte des Cimes Enneigés (théatre), 756
L’Enfant Sorcière et Autres Contes d’horreur, 757
Mémoire : De l’utilisation des runes dans la magie motrice 758
L’oiseau de fer, Roman, 758
Mémoire : Les méchanismes du fantastique comme lutte contre l’Oppression dans les dernières années de l’Empire, 759
Thèse : Technomagie et Pacte d’Animation : 759
Article : Magie Runnique, d’Aquaria à Ventus, l’émergence d’un savoir faire Ventusien ? 760
Article : L’effet de la technomagie sur l’utilisation de la magie Runnique ? 760
Petite Histoire Amorale : 761
Thèse : De la place de l’Homme dans la litérature, la résurgence d’un courant Humaniste,  761
Article : De la Magie runnique de stabilité et des runes d’énergies. Etudes technomagique appliquée à la création d’appareil volant.

Soi réel



Crédits:  Fire Emblem Path of Radiance
Des choses à améliorer?: Ignis, Terra et Aquaria n’ont pas encore été libéré, donc oui. Mais on le fera nous même après avoir débloqué la technomagie
Comment avez-vous connu ce forum: Recruté par Dieu
Autre chose ?: Du café et des explosions, c’est pourtant pas compliqué, si ?.


Dies Irae soutient la création; cette fiche a été codée par Orange de CSSActif, fiche modifié par As'ad.


André Caéli
André Caéli
Messages : 347
Age : 0
Métier : Ingénu
Humeur : Atrabilaire
Points Histoire : 70
Jeu 8 Sep - 4:54
IdentitéNom:Caéli
Prénom(s): André
Âge: 20 ans
Nation: Ventus
Métier: Maitre de Conférence à Mihailov, Chercheur en Technomagie, Ecrivain


Potentiel Potentiel Principal : Technomagie
André est à la pointe de la recherche en terme de technomagie, principalement sur l’utilisation de pacte afin de permettre l’animation d’objet et leur alimentation en énergie. En travaillant sur ses éléments, André s’éfforce à créer des machines et des méchas alimenter par l’énergie magiques et contrôler par des pactes. De manière plus concrète et bien qu’il s’agisse d’une compétence transversale, André est donc un expert en terme de magie runique appliqué à l’énergie et en pacte de contrôle, capable de les aposer rapidement, et de les inventers plus ou moins selon la nécessité du moment, même sous pression. Il a aussi une excellente compréhension de la magie runnique et des magies de pactes ce qui lui permet de comprendre les méchanismes sous jacent que d’autres magiciens utilisent.

Potentiel Secondaire : Ecriture :
André est un auteur connu à Ventus pour des livres, et dont les principales inspirations sont humanistes (avec une once de romantisme).  Outre la célébrité et la manne financière que ça lui apporte, André est donc doté d’une imagination vivide qui le rends plutôt bon quand il s’agit de penser « outside the box » et d’improviser.

Potentiel Secondaire : Langue ancienne :
André lit la langue ancienne et son écriture courrament et peu, avec effort la parler. Il est diplomé de Mihailov en langue ancienne, ce qui veut dire qu’il a une compréhension complexe des méchanismes grammaticaux de la langue ancienne, et pourrait sans trop de problèmes survivre à Aquaria (avec un fort accent cela dit). Il est aussi capable de déchiffrer différentes variantes et dialect qui en découlerait éventuellement du à ses dons linguistiques.

Potentiel Secondaire : Magie Runnique :
André ne sachant pas prononcer correctement la langue ancienne, la grande majorité de ses sorts sont écrits en runes, ce qui renforce leur puissance. Il est capable d’aposer ses runes rapidements, et de les déclencher avec un bon timing car c’est un utilisateur expérimenté, ainsi que de reconnaitre des sorts runniques.



Sorts :

Technomagie: Pacte d’Animation
Le pacte principal d’André est un pacte qui permet à André de convertir le mana d’un objet afin de lui donner la même affinité que le sien. Cela permet à André d’échanger son mana avec l’objet sous la forme d’énergie que l’objet peut utiliser. Le pacte donne aussi à André la capacité de diriger l’object dans les limites de la réalité méchanique de celui-ci. Par exemple une pierre ne pourra pas se déplacer, par contre un système méchanique pourra s’enclencher (un rouage par exemple). André peut contrôler et percevoir ce que l’objet perçoit, et même le programmer pour des missions simples, comme un paternes prédéfinis. André peut aussi utiliser des sorts runniques sur l’objet directement alimenté par son mana grâce à ce pacte.

Magie de feu : Rune d’énergie :
La rune d’énergie est un sort de magie de feu qui permet de transformer le mana en feu à très haute température. L’utilisation de cette rune est double : elle permet de faire prendre feu à un objet, et sert de base au système de propulseur de l’Ornigon.

Magie de feu : Contrôle du feu (Sort de rang D) : Un sort assez simple qui réside dans l'écriture sur un petit bout de parchemin ou de papier (ou sur n'importe quel surface) en un rapide ensemble de rune. Quand ce support est consumé par un feu, celui ci peut gagner en intensité très rapidement, exploser violemment, devenir extrêmement chaud (vert voir bleue jusqu'au flamme) ou au contraire s’éteindre selon la volonté de l’utilisateur.
Magie de Feu : Mur de flamme (sort de rang C+) :
Le mur de flamme est un sort qui marche avec deux écritures runniques séparées l’une de l’autre. Quand les runes sont activés, un mur de flamme d’environ un mettre va se créer entre les deux, restant en place tant que le mana du magicien l’alimente ou qu’il est capable de s’autonourir à partir de combustible.
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Équipement, objets divers :  The Gun (sort de rang E): L’arme ultime et secrète d’André se présente sous la forme d’un tube de métal arrondé avec un système de lancement pour des petites balles de fer. Le magicien utilise le pacte d’animation pour alimenter l’objet en mana et créer une forte détonation qui propulsera la balle à la vitesse des flèches des meilleurs archers. Le calibre est en métal e d’environ 20 centimètres. A sa base se trouve une crosse de 7 à 8 centimètres en bois, mais pas de gachettes puisque la balle est activé à travers un système magique. L’objet, à l’instar des pistolets d’antan, a une forte limitation : il ne peut tirer qu’une fois sans être rechargé et si il est léthal à petite distance, n’est pas très utile sur des distances plus longues. Une limitation existe aussi quand au mana d’André ; en effet, la concentration de mana afin de propulser la balle est violente et épuisante, plus que celle d’un sort de rang ? et ainsi le jeune homme ne peut pas tirer plus de 5 fois pour l’instant, et cherche à utiliser des aides mécaniques afin de diminuer l’utilisation du mana.

Epée énergétique ( sort de rang D) : André utilise son pacte d’animation afin de lier son mana et son épée. Cela lui permet de concentrer son mana dans son épée et de le relâcher sous forme d’énergie dans une direction donnée. Le sort prends une petite seconde à charger et peut propulser un ennemi sur deux trois mètres. Si le sort est chargé au maximum, il prendra quelques secondes à charger mais aura le potentiel pour détruire un mur. Alternativement, André peut aussi utiliser le mana contenu dans son épée pour lancer ce sort si il veut économiser le sien, mais l’objet s’en trouvera endommagé. Enfin dernier effect du pacte, tant que André et l’épée ont une connection magique, l’épée peut se renouveler si elle est endommagé en puisant dans l’énergie du magicien.

Feu gregeois (rune de feu, équivalent sort de rang D à C+) : : Les feux gregeois d’André sont des petites sphères contenant un combustible autement inflammable et une rune d’énergie. Quand la rune d’énergie est activée par André, le combustible explose et créer un feu vert qui ne peut être éteint que par l’absence de combustible ou d’oxygène.

Mécha Souris : Le mécha souris est un petit méchas en forme de souris, d’environ 10 cm de long pour 5 cm de haut. André peut l’utiliser pour des petites courses ou pour espionner sur ses, hum… rivaux… Le mécha souris peut aussi transporter la plus petite orbe de feu gregeois (voir en dessous)

Mécha Talonflame : Le mécha talonflame est un mécha plus grand et capable de voler. Toujours grâce à un système méchanique mis en action avec le mana d’André, il a la forme d’un oiseau  30cm de long, 20cm de haut, et 60cm d’envergure. Dans ses ailes se trouve des runes de feu capable de s’activer, lui permettant d’enflammer ce qui est à son approche si André le veut. Dans son bec aussi se trouve une rune de feu plus puissante, qu’André peut activer pour créer une langue de flamme sur une cinquantaines de centimètres devant le mécha. Ce mécha possède une indépendance d’une heure avant qu’André ait à rompre le pacte pour ne pas épuiser sa mana.  

Ornigon (prototype) : L’ornigon est un prototype de machine volante qu’André essaie de faire fonctionner. La machine ressemble à une petite luge avec au-dessus d’elle une hélice qui utilise le pacte d’animation afin de tourner suffisament rapidement pour l’élever. Des petites ailes de toites d’environ un mètre serve à stabiliser l’appareil. A son arrière et sur les ailes se trouve de plus petites hélices qui permettent à André de diriger l’appareil. Bien qu’il soit encore un prototype, l’ornigon est capable de voler et a une autonomie de quelques heures. Les conditions de vol néanmoins sont très sensible à la météo et de bien d’autres choses qu’on ne comprends pas encore sur le vol, faisant de l’appareil une machine assez dangereuse pour ses passagers.

Grimoire de Pierre Caéli : Le grimmoire de Pierre Caéli est un grimmoire qui date de la création de Ventus ; écrit en langue ancienne, il possède une traduction en langue moderne et est rempli de sorts runiques que Pierre Caéli, un des premiers notables de Ventus, utilisait comme rune de protections. Il est la base des connaissances magiques d’André avant qu’il entre à Mihailov et de son apprentissage de la langue obscure et pourrait bien contenir quelques sorts interdits… Enfin interdits… c’est une question de point de vu.

Montre de Pierre Caéli : La montre à gousset hérité de Pierre Caéli est probablement un des objets les plus ancien au monde et André garde son existence secret. La montre date de l’âge abscure et sert à sceller les magiciens sans la présence d’autres magiciens présent. Elle fut un objet d’étude important à André afin de développer sa magie de pacte. A part ça, et bien, elle donne l’heure, ce qui, pour une montre, fut de tout temps une fonction très appréciable.

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Compagnons :
Elisa Caéli, humaine et sœur, 746 : Dire qu’Elisa est différente d’André est un doux euphémisme tant leurs personnalités divergent. La où André est plutôt discret avec des sursauts d’excentricités et une ignorance assez complètement sur la réalité du monde, Elisa aime attirer l’attention, agir de manière incongrue volontairement et a un sense poussée de la réalité et du regard des autres. Etudiantes en litérature à Mihailov, elle est aussi l’auteur de vignettes dessinées pour certains journaux ventusiens et de deux livres, un s’addressant à ses lectrices de vignettes, et un beaucoup plus litéraire. Elisa n’a pas de pouvoirs, est très proche de sa famille et de son frère, et ne supportes pas qu’on lui impose des restrictions.


AutreCrédits:
L'origine des images/musique que vous avez utilisées.

André Caéli, inventeur fou !
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